Mais de la joie enfin!
Bon, alors oui quoi, merde!
Ya que du morose, du laisser aller, de l'abattement.
Aujourd'hui encore, une amie, à qui je n'ai pas parlé depuis... Pfiou! Oui, une ex, c'est ça. Quelques jours que nous discutons, et hop, un blog. Un blog qui ne sent pas vraiment la joie. C'est le troisième cette semaine.
Loi des séries? Ou pas.
Il y a un complot la dessous. On veut me saper mes vacances!
Alors non! Je m'en vais, et l'esprit libre et tranquille. Joignable uniquement par téléphone, quand je capte. Pour le reste, voyez avec ma secrétaire.
Mais je ne partirais pas sans laisser derrière moi un message d'espoir. Une volonté, peut-être, de faire un monde meilleur. Haha! Elle est bien bonne n'est-ce pas?
Oui, mais pourquoi pas.
Les oiseaux chantent, le Soleil se montre, parfois, et même la pluie tombant en trombes sur votre visage est un signe d'une infinie puissance : vous êtes en vie.
Et si cette phrase ne fait rien résonner en vous, si les vibrations que vous rencontrez dans votre existence ne vous permettent pas de vous extirper de votre focus sur le malheur, posez-vous simplement cette question :
A la fin, au moment de rendre le dernier souffle, voulez-vous pouvoir dire "j'ai raté" ou "j'ai tenté"?
Celui qui se laisse abattre ne peut être blâmé. Seul celui qui reste à terre sans essayer de se relever ne mérite pas d'attention.
Il me semble que c'est Albert Camus qui a dit : "Il est tellement plus facile de mourir de ses contradictions que de les vivre."
Et si malgré ça, vous ne souriez pas, pas même intérieurement, si la joie ne vient pas, n'ose pas même poindre le bout de son sale nez de salope à l'horizon, regardez autour de vous. Il y a forcément quelqu'un pour vous. Quelqu'un prêt à vous apporter un peu de bonheur, un coup de pied au cul, un sourire, de la chaleur ou simplement une présence pour combler d'une petite pierre le vide immense qui peut vous habiter.
Et si il n'y a personne, alors il y a forcément un connard de gnome d'1m80, grognon, pas aimable, mal rasé, mal sapé, myope, jaloux, drogué, misanthrope (qui se soigne) et communiste qui est prêt à prendre un verre. Et à ne pas vous le jeter à le tronche. Du moins pas de suite. Et peut-être apporter l'etincelle qui permettra à moins de personnes de penser aussi négativement, de trainer un gros et lourd boulet noir et triste à leur pied, ligotés dans des liens de morosité.
Allez quoi, merde! Souriez, vous vivez!
Ya que du morose, du laisser aller, de l'abattement.
Aujourd'hui encore, une amie, à qui je n'ai pas parlé depuis... Pfiou! Oui, une ex, c'est ça. Quelques jours que nous discutons, et hop, un blog. Un blog qui ne sent pas vraiment la joie. C'est le troisième cette semaine.
Loi des séries? Ou pas.
Il y a un complot la dessous. On veut me saper mes vacances!
Alors non! Je m'en vais, et l'esprit libre et tranquille. Joignable uniquement par téléphone, quand je capte. Pour le reste, voyez avec ma secrétaire.
Mais je ne partirais pas sans laisser derrière moi un message d'espoir. Une volonté, peut-être, de faire un monde meilleur. Haha! Elle est bien bonne n'est-ce pas?
Oui, mais pourquoi pas.
Les oiseaux chantent, le Soleil se montre, parfois, et même la pluie tombant en trombes sur votre visage est un signe d'une infinie puissance : vous êtes en vie.
Et si cette phrase ne fait rien résonner en vous, si les vibrations que vous rencontrez dans votre existence ne vous permettent pas de vous extirper de votre focus sur le malheur, posez-vous simplement cette question :
A la fin, au moment de rendre le dernier souffle, voulez-vous pouvoir dire "j'ai raté" ou "j'ai tenté"?
Celui qui se laisse abattre ne peut être blâmé. Seul celui qui reste à terre sans essayer de se relever ne mérite pas d'attention.
Il me semble que c'est Albert Camus qui a dit : "Il est tellement plus facile de mourir de ses contradictions que de les vivre."
Et si malgré ça, vous ne souriez pas, pas même intérieurement, si la joie ne vient pas, n'ose pas même poindre le bout de son sale nez de salope à l'horizon, regardez autour de vous. Il y a forcément quelqu'un pour vous. Quelqu'un prêt à vous apporter un peu de bonheur, un coup de pied au cul, un sourire, de la chaleur ou simplement une présence pour combler d'une petite pierre le vide immense qui peut vous habiter.
Et si il n'y a personne, alors il y a forcément un connard de gnome d'1m80, grognon, pas aimable, mal rasé, mal sapé, myope, jaloux, drogué, misanthrope (qui se soigne) et communiste qui est prêt à prendre un verre. Et à ne pas vous le jeter à le tronche. Du moins pas de suite. Et peut-être apporter l'etincelle qui permettra à moins de personnes de penser aussi négativement, de trainer un gros et lourd boulet noir et triste à leur pied, ligotés dans des liens de morosité.
Allez quoi, merde! Souriez, vous vivez!